Le comportement d’une structure flottante pour l’éolien en mer a été simulé sur le supercalculateur Jean Zay du Grand équipement national de calcul intensif (GENCI). 6 millions d’heures de calcul – l’équivalent de 80 années de calcul sur un ordinateur standard – pendant cinq jours ont été obtenues. Ces données récoltées par IFP Énergies nouvelles (IFPEN) ont permis de constater que de nouvelles méthodes de conception étaient possibles. Basées sur des « plans d’expériences adaptatifs », c’est-à-dire que les conditions environnementales pour le calcul sont choisies de manière dynamique plutôt qu’a priori, elles permettraient de réduire les incertitudes, de maîtriser le dimensionnement des flotteurs d’éoliennes et donc leurs coûts.