Jean-Luc Lagleize, député de Haute-Garonne (MoDem), a interrogé Agnès Buzyn sur la reconnaissance des pratiques non conventionnelles ou médecines douces. Il se réfère ainsi au préambule de la Constitution de l’OMS, adopté en 1946, qui souligne que « la santé […] ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ». Il insiste notamment sur le fait que la médecine traditionnelle non conventionnelle est pratiquée dans de nombreux pays. Il affirme alors la nécessité d’étudier les bénéfices sanitaires, économiques et sociaux d’une reconnaissance légale. Enfin, il précise qu’un encadrement ou une labellisation de ces pratiques permettraient d’éviter certains risques sanitaires.
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