La FEBEA (Fédération des entreprises de la beauté) a publié en mars 2018 le premier livre blanc sur l’économie circulaire dans le secteur de la cosmétique. Ce document met en lumière trois enjeux principaux pour ce domaine : « éco-concevoir les produits et favoriser l’utilisation durable des ressources », « fabriquer durablement » et « promouvoir une consommation durable ». Le syndicat professionnel a ainsi recensé 120 bonnes pratiques de 57 marques cosmétiques, à l’image de Phytomer, qui collabore avec des producteurs locaux. Ou encore de Pierre Fabre, qui s’engage via la fondation Klorane Botanical Foundation, en plantant des dattiers du désert. Le groupe l’Occitane est également cité pour sa lutte contre le gaspillage énergétique, notamment par l’utilisation de procédés à froid. De même que les laboratoires Expanscience, qui utilisent un outil interne d’écogestion et exploitent de l’électricité renouvelable provenant de sources françaises.