Un rapport sur les techniques d’épuration d’air intérieur, un marché en pleine expansion, a été réalisé par l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail). 500 dispositifs ont ainsi été recensés et analysés. En se fondant sur cette étude, l’agence a conclu que les purificateurs d’air intérieur n’étaient pas réellement efficaces. Elle va même jusqu’à affirmer que certains systèmes peuvent engendrer une dégradation de l’air, des polluants dits « secondaires » étant susceptibles de se former par réaction entre les substances contenues dans le purificateur et celles de l’air intérieur.