Des chercheurs de l’université Northwestern (États-Unis) ont identifié un procédé conduisant à la dégénérescence cérébrale des personnes souffrant de la maladie de Parkinson. Ils sont arrivés au constat que les fonctions neuronales pouvaient être préservées si les neurones produisant de la dopamine étaient préservés dans la région du cerveau agissant pour la fonction moteur. En étudiant la raison de la disparition de ces neurones, ils ont remarqué l’action protectrice de certains antioxydants qui l’est d’autant plus au début de la maladie.