Le roquefort possède, d’après une étude menée par des chercheurs britanniques, des facteurs antiinflammatoires, apparaissant pendant sa phase de maturation. Durant cette étape, ces derniers seraient en possession de caractéristiques particulières qui leur permettraient d’agir efficacement dans des environnements acides, comme l’estomac ou la peau. Selon ces scientifiques, basés à Cambridge, il existe un consensus croissant selon lequel l’inflammation subclinique, et donc avant l’apparition des premiers symptômes, est à l’origine de nombreux processus de vieillissement. La société britannique spécialisée dans les biotechnologies, Lycotec, à l’origine de l’expérience, pense pouvoir utiliser cette découverte dans la fabrication de produits pharmaceutiques et cosmétiques.