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Recherche Santé

L’eau, entre science et conscience

« Si la conscience et l’eau sont encore de profonds mystères pour la science, c’est peut-être parce que ces deux problèmes apparemment différents sont en fait profondément enchevêtrés »

citation du Pr Marc Henry*

Ces mots résument parfaitement le sens de ce bref article dont l’ambition est de vous donner envie de plonger dans les recherches sur la conscience de l’eau.

Qui connaît vraiment l’eau et ses potentiels ? Tous les scientifiques honnêtes seront humbles et accepteront le fait que cet élément, résolument vital pour l’humain et la planète, reste profondément inconnu dans toutes ses dimensions invisibles. Et c’est justement là que se trouve le pont avec la conscience et ses extraordinaires ressources subtiles pour tout le vivant.

Que cache le pouvoir de l’eau ?

L’eau est notamment un véhicule d’information pure. Le comprendre ouvre la porte à un univers infini d’applications concrètes permettant d’unir tous les règnes (l’homme, l’animal, le végétal, le minéral) dans toutes ses dimensions (macro et micro).

L’eau est donc un médium de stockage et de transport de l’information conscient, donc agissant sur de multiples niveaux quantiques. L’eau est un des chaînons manquants (il y en a d’autres) entre l’esprit et la matière. Au niveau de la santé humaine, l’eau permet d’unir les théories de la biologie, de la physique quantique et de l’homéopathie. On peut parler d’une « morphogénèse » de l’eau.

cellule  et eau
Crédit Marc Henry

Quand la science voyage dans une cellule humaine

Que verrait un être nanométrique lors d’un voyage dans le milieu intracellulaire ?

La figure ci-dessus part de la membrane plasmique jusqu’au noyau d’une cellule eucaryote. L’organisation est extraordinairement compacte, et ne laisse aucun espace vide de taille nanométrique. Fausse apparence ! Car ici ne se montre que 1 % de l’occupation cellulaire… tout le reste est de l’eau à 99 % !

Pourquoi la conscience de l’eau est-il un sujet si sensible ?

Le sujet de la « conscience de l’eau » a toujours mis le feu aux poudres des mandarinats scientifiques et de la cohorte de ses adeptes. Il faut bien comprendre que la position de chercheur est inconfortable. Elle présuppose de publier un maximum pour sortir de l’ombre et obtenir des crédits. La plupart évitent donc soigneusement de se marginaliser en abordant des sujets brûlants, au premier rang desquels l’eau.

Pourquoi ? Parce que l’eau, c’est la vie ! En tout et partout. Elle pénètre donc tous les écosystèmes, à commencer par celui de nos biologies. Or, nos corps sont devenus chasse gardée des énormes trusts pharmaceutiques car, en aucun cas, la maladie ne doit être guérie. Le problème ici c’est que l’eau détient en elle-même une conscience régénérative et curative cellulaire, à un niveau inimaginable déjà, et dangereux ensuite – s’il était vraiment exploré – pour les prés-carrés de la médecine allopathique actuelle.

Petit rappel de recherches fondatrices

De nombreuses voix se sont pourtant faites entendre. Des chercheurs aventureux se sont toujours battus pour sortir des ornières imposées par l’establishment scientifique : les Pr Montagnier et Henry (déjà cité), les Dr Emoto, Korotkov, Voikov, Pop, etc.

Ou encore des hommes à la pensée élevée, curieuse et humble, qui ont tenté de faire connaître leurs travaux. On peut citer : Schauberger, Plocher, Lauterwasser, etc.

Voilà des sources où puiser plus d’informations si vous en avez envie…

*Le Pr Marc Henry est ingénieur chimiste et Docteur es Sciences. Actuellement enseignant-chercheur et professeur à l’université de Strasbourg, il s’occupe entre autres de science des matériaux et de physique quantique.

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