La puissance de calcul de 16 machines est associée pour soutenir les projets de recherche, afin d’identifier les molécules efficaces contre le SARS-CoV-2.
IBM annonce le lancement d’un consortium qui mobilisera des superordinateurs destinés à optimiser les moyens de calculs des projets de recherche liés à la lutte contre l’épidémie de coronavirus COVID-19.
Outre la firme informatique, le COVID-19 High Performance Computing Consortium comprend Lawrence Livermore National Lab (LLNL), Argonne National Lab (ANL), Oak Ridge National Laboratory (ORNL), Sandia National Laboratory (SNL), Los Alamos National Laboratory (LANL), la National Science Foundation (NSF), la NASA, le Massachusetts Institute of Technology (MIT) ou encore Rensselaer Polytechnic Institute (RPI).
Ce sont, en tout, 16 machines représentant une puissance de calcul de plus de 330 pétaflops, 775 000 cœurs de processeur, 34 000 GPU, qui sont mis à disposition. Cela inclut le Summit d’IBM, ordinateur le plus puissant au monde, qui a récemment permis d’identifier 77 molécules potentiellement efficaces contre le Covid-19.
Parallèlement, le projet Folding@home de calcul collaboratif mondial, porté par l’université de Stanford (Californie), indique pour sa part avoir atteint une puissance de calcul de 474 téraflops au service de la recherche contre le coronavirus.
© Oak Ridge National Laboratory – Wikimedia