Le bien-être ne se décrète pas, il se construit avec soi-même et en harmonie avec un environnement qu’il convient de protéger, une nature préservée et partagée, un urbanisme aéré et durable où le contenant a autant d’importance que le contenu.
Si le bien-être est un enjeu personnel, il est aussi collectif. Un écosystème naissant en développe les multiples facettes en termes de santé, de tourisme et d’art de vivre. C’est désormais un enjeu économique et sociétal.
Enghien-les-Bains, station classée de tourisme, qui doit son existence au thermalisme médical, cultive une qualité de vie et vise désormais à soutenir un tourisme bien-être & santé.
Enghien-les-Bains, la station thermale de Paris, se devait de recevoir Aquæ Panorama, futur « Davos du bien-être » réunissant les professionnels de la santé, des métiers de l’eau et du tourisme du bien-être, qui est devenu à travers le monde une économie générant un PIB de 501 milliards d’euros.
La France, qui n’est pas leader sur ce champ, doit s’inscrire dans une dynamique d’innovation et de qualité.
Je remercie chaleureusement Marie Morani, la remarquable éditrice d’Aquæ, l’incontournable lettre de l’actualité professionnelle, d’avoir choisi Enghien-les-Bains pour cette première. Je la félicite d’associer Jean-Jacques Gauthier, commissaire général de l’événement, ainsi que Joël de Rosnay, ce grand scientifique, qui ne dissocie jamais la science et la pensée dans un monde toujours en mutation dont il est le fin observateur.
J’apprécie particulièrement l’important partenariat du groupe Barrière, fidèle à sa vocation d’excellence et à son engagement durable, qui nous permet d’accueillir Aquæ Panorama dans un cadre exceptionnel ; que Bruno Cagnon, président de la Société Touristique et Thermale d’Enghien, en soit vivement remercié.
Tout concourt au succès de ces rencontres, qui s’imposeront « naturellement » comme un rendez-vous majeur du tourisme bien-être & santé.
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