L’organisme en charge de la formation continue des professionnels de santé a fait l’objet d’un examen soulignant des lacunes au niveau de l’encadrement, du contrôle et du financement.
La Cour des comptes a remis le 15 avril dernier à Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la Santé, un référé sur l’ANDPC (Agence nationale du développement professionnel continu), en charge du développement professionnel continu pour les professionnels de santé. Celui-ci rapporte le contrôle de l’agence et fait état « de profonds dysfonctionnements dans le pilotage et le financement » du dispositif qui vise au perfectionnement des pratiques.
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