Une étude, publiée le 19 novembre 2018 dans la revue Nature Communications et menée par l’université de Pittsburgh, explique que dans les muscles de sujets jeunes des niveaux élevés d’une protéine anti-âge appelée Klotho conservent les petites centrales énergétiques des cellules, les mitochondries, ce qui favorise la cicatrisation musculaire après une blessure. À l’inverse, le déclin de cette protéine lié à l’âge conduit à des lésions mitochondriales et donc à une altération de la cicatrisation. Ces travaux, effectués sur des souris âgées, suggèrent que l’administration de cette protéine aux patients âgés blessés pourrait stimuler leur régénération musculaire et conduire à une récupération plus complète.
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