Quelle est votre clientèle principale ?
Les centres de thalassothérapie et les établissements thermaux, même s’ils ne représentent que 25 à 30 % de notre chiffre d’affaires en France, sont des clients très importants. Nous partageons une passion pour une démarche de soin, les bienfaits de la peau. Pour le reste, il s’agit de spas et d’instituts de beauté. À l’étranger, nos clients sont principalement des spas. La seule exception est la Corée du Sud. Nous y possédons un réseau de distribution très divers, qui va du duty free à la vente à distance. C’est un marché où Phytomer a une reconnaissance forte au-delà du secteur professionnel. En France, la vente directe au consommateur via notre site internet représente une part faible de notre CA. Nous passons majoritairement par des revendeurs.
Communiquez-vous auprès du grand public ?
Malgré tout, même en France, nous travaillons beaucoup sur la notoriété de la marque auprès des particuliers. Notre stratégie de communication s’articule autour de deux axes. Le premier vers les dépositaires actuels et potentiels. Nous leur expliquons pourquoi la mer est intéressante à travailler où que l’on se trouve. Nos outils sont notre site web et les newsletters. Le second axe concerne les consommateurs. Globalement, nous exploitons le même thème des vertus d’une cosmétique naturelle et puissante, qui fait sens. Nous communiquons de manière assez forte avec des campagnes télévisées, des publicités dans les magazines féminins et une forte présence sur Internet et les réseaux sociaux.
Quelles sont vos pistes de développement ?
Notre laboratoire travaille sur des thèmes de pointe, comme la neurocosmétique, l’épigénétique en cosmétique et le microbiote de la peau. Nous sommes également à l’avant-garde sur les technologies antipollution. Nous avons développé une gamme citadine dans ce sens. Par ailleurs, dans les mois qui viennent, des produits pour lutter contre les lumières bleues vont être lancés.
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