Des cosmétiques permettent de se protéger des lumières dégagées par les écrans, dangereuses pour les yeux, mais aussi pour l’épiderme.
En plus d’être néfaste pour les yeux, la lumière bleue peut s’avérer nocive pour la peau. Cette partie du spectre entre 380 et 500 nanomètres est émise par le soleil, les ampoules LED et les écrans (télévision, smartphones, etc). À noter que seules les longueurs d’onde inférieures à 450 nanomètres sont potentiellement nocives. Elles peuvent ainsi provoquer l’apparition de rides, de tâches et possèdent notamment des propriétés pro-oxydantes.
Des soins anti-lumière bleue voient donc le jour. Le premier a été conçu par Garancia. Il s’agit d’un vaporisateur aux fleurs de buddleja. De nombreuses marques ont alors pris le train en marche. Une étude a même été réalisée par Gattefossé et Cytoo. Les premiers résultats, présentés à la Conférence de l’International Federation of Societies of Cosmetic Chemists à Séoul (Corée du Sud) en octobre 2017, montrent un impact réel sur le métabolisme mitochondrial.