Menée par des chercheurs des universités de Coventry (Royaume-Uni) et de Radboud (Pays-Bas), une méta-analyse de 18 études sur la question et portant sur 846 personnes révèle que la méditation et autres activités de pleine conscience inversent l’expression des gènes impliqués dans les réactions inflammatoires induites par le stress, en particulier la protéine NFkB. Quelle que soit la forme de la technique appliquée (yoga, Tai-Chi, etc.), ces gènes deviennent moins actifs, suggérant que les pratiques corps-esprit peuvent réduire le risque de maladies liées à l’inflammation.