Selon des travaux de recherche menés par une équipe de l’Inserm, l’activité physique exercée à l’âge adulte n’aurait pas pour effet de réduire le risque de développer une démence. En effet, les personnes réalisant l’activité physique recommandée et plus auraient le même déclin des fonctions cognitives. Il a été remarqué que les personnes qui font de l’exercice physique diminuent leur rythme dans les neuf ans qui précèdent le diagnostic d’une démence. Bien que l’activité physique n’ait pas un effet protecteur quant à l’apparition de la démence, ces bénéfices sur le système cardiovasculaire et la prévention de l’obésité et du diabète sont importants.