Des chercheurs de l’université de Liverpool (Royaume- Uni), sous la direction du Pr Simon Tew, ont identifié des « messages cellulaires » qui pourraient permettre de déceler les stades précoces d’arthrose facilitant la mise en oeuvre d’interventions thérapeutiques. L’étude, dont les résultats ont été publiés le mois dernier dans la revue NPJ Systems Biology and Applications, a analysé les messages moléculaires produits par les cellules de cartilage chez les rats et les humains. Une signature de message associée au cartilage arthritique a ainsi été identifiée.