À la suite de la publication, début juin, par UFC-Que Choisir, d’une liste de plus de 1 000 produits cosmétiques renfermant un ou plusieurs produits indésirables dont 23 pouvant être considérés comme non légaux, Yves Détraigne, sénateur centriste de la Marne, a interpellé le Gouvernement. 12 composés préoccupants, perturbateurs endocriniens ou allergènes, ont été identifiés. Alors que la définition, par la Commission européenne, des perturbateurs endocriniens tarde à être établie, le sénateur regrette la présence sur le marché de produits « parfois potentiellement toxiques, trompeurs, voire carrément illégaux » et demande quelles initiatives seront prises en la matière.
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