Une étude a été menée par l’université de Singapour auprès de 2 800 personnes afin de déterminer si le thé conduisait à prévenir la maladie d’Alzheimer. Les résultats montrent que le risque de développer une démence est divisé de moitié chez les personnes buvant beaucoup de thé : ce constat est plus valable chez les femmes buvant 3 à 4 tasses par jour.
Dans l’échantillon de l’étude, 660 personnes étaient des buveurs de thé : 5,9 % d’entre eux ont développé une démence. Ce pourcentage s’élevait à 11,1 % chez les non buveurs de thé. Les bénéfices chez l’homme n’ont pas été clairement évalué pour cause de résultats non probants.
Les chercheurs affirment néanmoins qu’une hygiène de vie saine alliée à une consommation de thé peut diminuer le développement de troubles neurocognitifs.