Le sénateur Maurice Vincent a questionné, le 10 mars dernier, la ministre des Affaires sociales et de la Santé sur la mise en place de la coordination entre les médecins, les professeurs de sport et les professionnels de santé — notamment les kinésithérapeutes — prévue dans le cadre du « sport sur ordonnance » (loi n°2016-41 du 26 janvier 2016) pour les malades atteints d’une affection de longue durée (ALD). Il propose que dans les zones de tension où les kinésithérapeutes sont en nombre insuffisant, le recours au sport sur ordonnance se fasse par défaut. En attente de réponse.
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