Suite au rapport publié, au mois de mars dernier, par l’ONU sur les perturbateurs endocriniens (Aquæ n°12), dans lequel ils sont clairement désignés comme une menace pour la santé humaine et pour l’environnement, des députés européens demandent des règles plus strictes. Même si leur impact reste difficile à prouver, dans un principe de précaution, les directives « pesticides » et « biocides » prévoient de ne plus octroyer d’autorisations aux substances présentant un caractère de perturbateurs endocriniens à partir du 14 décembre 2013.